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Le désir, Agrément ou désagrément  

Le désir apporte tous. Agrément mais aussi désagrément. Il faut savoir que tous agrément vient et découle d’un désagrément. Mais ne peut-on aussi dire l’inverse ?

Mais d’abord qu’est ce que l’agrément : Ce qui est agréable, ce qui charme, ce qui plaît,

Cette femme n’est pas belle, mais elle a beaucoup d’agrément.

La solitude a ses agréments.

Il n’y a nul agrément dans cette pièce, dans cet ouvrage.

Les agréments de la figure, de l’esprit.

Cet homme trouve de grands agréments dans sa famille, dans sa profession, dans sa place, dans la compagnie dont il est.

Cette terre est une propriété d’agrément, par opposition avec « une propriété de rapport ».

Ensuite qu’est ce que  désagrément : Chose désagréable, sujet de chagrin, d’ennui, de dégoût.

C’est un grand désagrément que d’avoir des procès.

Il a eu, il a essuyé de grands désagréments dans l’exercice de son emploi.

Il s’est attiré des désagréments.

On n’en a que du désagrément.

Peut-on associé l’agrément au plaisir « plaisir d’avoir ce que l’on désir » et le désagrément à la déception « ne pas avoir ce, celui ou celle que l’on veut, ou désir »

Le problème n’est il pas ce en fait le désir ?

La vie est donc faite des deux désirs. Par exemple « un rêve, un songe, une envie, un amour » à la base sont des mots à consonances positives, agréables et d’agréments. En revanche le résultat « le cauchemar, le dégout, le refus », eux  peuvent-être des désagréments, et d’une tristesse.

La question qui reste et qui restera sans réponse sera « lequel vient en premiers ? » « Est-ce une bonne chose de désirer ? »